par Christian Chevallier, le 3 mars 2003
hébreu |
Maïm |
£ym
|
grec |
hudor |
udwr |
Le nom de cette lettre Mem £ym est un mot qui, prononcé Mayim, signifie les " eaux " (le Mem final dessine un carré)
Marc Alain Ouaknin remarque que l'on peut traduire
Mayim par "la double eau, la dualité des eaux ou les deux eaux".
En effet, les mots qui se terminent par " im " £y
indiquent un " duel " : deux yeux, deux oreilles, deux mains, tout
ce qui va par paire.
" Ainsi, Mayim, ce n'est
pas l'eau, ce n'est pas non plus les eaux, mais " une paire d'eaux
".
S'agit-il de l'eau d'en haut et de l'eau d'en bas comme le mentionne le premier chapitre de la Genèse ? " Et Dieu sépara entre les eaux qui sont en dessous du ciel et les eaux qui sont au-dessus du ciel " Serait-ce parce que l'eau nous entraîne toujours ailleurs et nous fait rêver ? Nous sommes ici et là-bas, dédoublement et voyage Ce rapport de l'eau et du " là-bas " se rencontre en hébreu dans le mot " chamaïm " £ymS ciel, que les maîtres du Talmud lisent cham-mayim, " là-bas " il y a de l'eau ! Cham signifie " là-bas ". Serait-ce parce que les eaux changent de couleur en fonction du ciel ? Elles sont bleues, grises, noires ou transparentes. Marc Alain Ouaknin Les mystères de l'alphabet |
L'eau a été représentée
de tout temps par un dessin de vagues. C'est
sous cette forme que l'hiéroglyphe égyptien nous transmet l'idée
de la matrice.
La forme originaire dans l'écriture protosinaïque est empruntée
du hiéroglyphe égyptien et représente un " filet d'eau
" ou des " vagues de la mer". Toutefois il se prononcera dans
la consonne " m " alors qu'en égyptien il se prononce "
n ".
Le hiéroglyphe apparaît parfois dans le doublet ,
et se prononce alors " n n " comme dans " ounn " exister,
être.
L'astrologie a gardé en mémoire ce doublet pour signifier le signe astrologique du verseau.
Il existe également en triplet qui
se prononce alors " mou " et signifie " les eaux ".
Notons la proximité phonétique entre l'hébreu
" mayim " et l'égyptien " mou ".
L'écriture cursive hébraïque a
gardé la mémoire de ces vaguelettes.
mL'hébreu carré semble
dessiner la vague que fait le corps de l'Homme lorsque, agenouillé, celui-ci
vient mettre sa tête contre ses genoux dans une attitude de repliement
sur lui-même pour se faire matrice de son propre germe m.
C'est essentiellement un symbole de matrice que constituent ces eaux primordiales,
les £ym mayim. Contenant le yod
y en leur cur, les eaux se définissent dans leurs énergies
comme inséparables de la puissance en germe du Yod y.
Mais
les eaux peuvent se révéler stériles. C'est le cas de la
Iam haarabah, la Mer morte. La Mer biblique peut ainsi nommer un lieu sec et
stérile, un endroit de solitude, comme le traduira la Vulgate "
mare solitudinis "
Jérémie 2:6 Ils n'ont pas dit: Où est l'Eternel, Qui nous
a fait monter du pays d'Egypte, Qui nous a conduits dans le désert, dans
une terre aride ('arabah) et pleine de fosses, dans une terre où règnent
la sécheresse et l'ombre de la mort, dans une terre par où personne
ne passe, Et où n'habite aucun homme?
Ces eaux primordiales fécondes nous sont révélés avant même le " jour Un " de la Genèse avant que le Verbe de Dieu ait commencé à " dire ", mais alors que l'Esprit, le " souffle " de Dieu planait sur elles, se réfléchissait en elles comme en un miroir, les adombrait de sa puissance paternelle et les couvait comme une mère pour en faire surgir la Création toute entière. Gen 1
2 La terre était informe et vide: il
y avait des ténèbres à la surface de l'abîme,
et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. |
Aussitôt la Terre commence à produire
les végétaux, et la vie s'installe ! Mais il a fallu une double
opération dans les eaux :
1) une extension laissant la place entre les eaux d'en haut et les eaux d'en
bas et,
2) parmi les eaux d'en bas un rassemblement en un seul lieu (El Maqom Ehad)
Miniature extraite de la Bible d'Este (15ème siècle)
Les eaux sont le lieu de deux séparations.
Pour tout esprit s'éveillant à la connaissance, il faut un grand
déchirement des eaux, un grand déchirement des eaux, un grand
espace de représentation où l'on puisse dessiner de grandes figures
- les cieux où les signes pourront s'inscrire et même le zodiaque
(qui signifie " ce qui concerne les vivants " de Zoé "
vie ")
C'est le quatrième jour que les signes s'inscriront dans le ciel et le
cinquième jour que les animaux seront créés.
Pourquoi les hommes ont-ils imaginé des constellations
comme le Lion, le Grande Ourse, etc ?
Pourquoi des animaux ? Parce que
les animaux sont doués d'une vie animée, ils ont une âme
vivante.
Qu'est ce que l'âme, la nefesh Spn sinon
le lieu d'animation de vie psychique : la psyché.
Alors, notre zodiaque serait ce miroir céleste sur fond d'eaux d'en haut
où se mirent les psychés ?
Mais comment observer ce miroir d'en haut ?
Comme l'on fait les premiers astronomes babyloniens ou hébraïques,
dans une " mer d'airain ". C'est un plan d'eau calme, circulaire,
sur lequel on peut voir les cieux par les belles nuits claires du Moyen-Orient
!
Mais le cercle n'a ni commencement ni fin, afin de pouvoir s'orienter encore
faut-il qu'il y ait des brisures, des repères dans cette éternelle
continuité !
Ainsi pour s'orienter, les Anciens gradueront les bords de la mer des eaux d'en
bas réunies en un seul lieu, afin de rendre observable les eaux d'en
haut dans le miroir des eaux d'en bas réunies en un seul lieu.
Le cercle se divise naturellement en 6. Alors pourquoi
s'être fixé sur une graduation duodécimale ?
La faveur dont jouit ce nombre 12 n'est pas due au cercle mais au carré
! En effet douze est le nombre de segments formant le périmètre
d'un carré de neuf.
3 sortes de
carré + le carré englobant = 4 sortes de carrés qui ont
respectivement
0, 1, 2, 12 portes
Ainsi la Jérusalem céleste a douze portes par lesquelles entreront
les douze tribus d'Israël. Tout comme le Ming-Tang de l'Empereur Céleste
de Chine a neuf chambres et par conséquent douze fenêtres pour
influencer le monde.
La
cuve d'airain devant la Tente d'assignation
gravure anglaise du 19ème siècle
Diviser le cercle en douze, c'est donc réaliser
la quadrature du cercle : assimiler le cercle au carré.
Alors que l'on pouvait se perdre dans le cercle, sa quadrature permet d'y fixer
une orientation.
Les eaux d'en bas réunies en un seul lieu, en une " mer " permettent
donc l'observation structurée des eaux d'en haut.
En observant l'image symbolique révélée dans les eaux d'en-bas,
c'est en fait sa vie psychique que l'Homme perçoit dans cette image.
Dans la tradition orale les Eaux d'en haut sont appelés
Mi ym, alors que les Eaux d'en bas sont appelés
Mah hm.
Le Mi et le Mah sont réunies par " l'étendue des cieux "
(Cieux est le mot Shamaïm £ymS) le Shin
y met en relation les Eaux !
On peut dire que :
- tout en créant le Mah à l'image du Mi et différent de lui, Elohim garde au cur du Mi, la présence du Mah
- Tout en étant distingué et différencié du Mi, le Mah recèle en lui la présence et la force du Mi.
L'image symbolique du Tao rend compte de cette répartition
dynamique du Mi et du Mah :
Le Mi rend compte des archétypes et le Mah de leur effectuation dans
et par les mondes crées. Dans les deux cas la lettre Mem m est matrice
et indique la provenance.
Mi ym et Mah hm sont
deux pronoms interrogatifs qui signifient respectivement " qui ? "
et " quoi ? "
" qui " est Elohim
£yhl' ? Celui-là (hl')
qui est en-haut (ym) et qui fait " quoi
" ('adam £d') en-bas (hm)
? se demandent les hébreux qui contemplent en Elohim " l'Homme
d'en-Haut " et en Adam " l'Homme d'en-bas ".
|
Les deux noms £yhl'
et £d' sont cernés par les lettres
Aleph ' et Mem final £
qui constituent le mot £' 'em, " mère
".
Dans le Nom d'Elohim, Dieu est Mère. Archétype de la Mère,
Il porte en son cur trois lettres yhl dont
la valeur numérique fait un total de 45 (30 + 5 + 10) qui est le nombre
de Adam ( 1 + 4 + 40) Dans les profondeurs, en son sein, Elohim porte Adam.
Willendorf (Autriche) statuette en calcaire oolithique. Naturhistorisches Museum (Autriche)
Am £' : La Femme
sera nommée par Adam : Mère de tous les vivants (Genèse)
" Adam donna à son épouse le nom d'Eve hwx
: car elle a été la mère de tous les vivants. " yx
lk £'.
La lettre Mem est la 13ème lettre de l'alphabet. Symboliquement le 13
mène à un passage ou à une mutation car il incite au départ
d'un nouveau cycle.
" Un " en hébreu Herad dx' nombre
4 + 8 + 1 = 13
La perfection du 10 (Yod), du germe reçue en son sein est activée
par la triade royale (les trois lettres centrales k,
l et m forment le mot " roi "
= Melek, klm) , qui incorpore en même temps
la mort et la renaissance : le 13 fait éclater le zodiaque (tous les
animaux yx lk) pour le transformer en une spirale
d'évolution en brisant les chaînes d'esclavage dans les cycles
de comportements programmés d'éternel retour.
Le germe d'existence y qui est l'expression en
l'Homme de l'Eternel hwhy est accueilli, pris en
main k, brisé en terre, afin de renaître
" autrement " par la force éprouvante de l'enseignement collégial
centré en l'au-delà l vers la vie
à venir tirée des eaux maternelles m
par l'Esprit de Dieu.
La Mère sera confrontée au chapitre 13 du livre de l'Apocalypse
à la bête de la Mer :
" Et je vis surgir de la mer un bête ayant sept têtes, et dix cornes, sur ses dix cornes dix diadèmes, et sur ses têtes, des titres blasphématoires. " |
Le Mem ouvert symbolise les neuf " dit"
de la Création, la dimension exotérique de la Torah, ce qui se
définit en terme transmissible, par la Tradition, là où
le Mem fermé symbolise la dimension ésotérique fondamentale
de la Torah, donc au-delà de toute capacité de transmission traditionnelle.
( Apocalypse 2 : 17)
Je donnerai de la manne cachée,
et je lui donnerai aussi un caillou blanc, un caillou portant gravé
un nom nouveau que nul ne connaît, hormis celui qui le reçoit
|
A ce propos, la différence des formes d'hermétisme entre les lettres Mem £ (carré) et Samek s (ronde) révèle que le secret du Mem présente une certaine aptitude à la définition même si elle exprime l'irrationnel et l'incommensurable, alors que le secret du Samek s'identifie totalement au cercle qui n'a ni commencement ni fin, donc l'Infini en soi.
Ainsi Mem tient du côté droit du temple,
celui de la bonté, de l'amour, de la générosité
fidèle, mais tient en même temps du côté gauche, celui
de la rigueur en ce sens que toutes les périodes d'attente durent un
laps de temps comportant quarante unités.
Le chiffre 40 rappelle la quantité d'eau requise (quarante seah) pour
accomplir un bain rituel de purification.
Cette lettre m tient la place maîtresse au
cur de l'ordre alphabétique : yklm
autour de la lettre centrale Lamed l, ces quatre
lettres forment le mot malaki : mon roi !
Comme cela est fréquemment cité à propos de la Vérité, le mot Emet tm' : ce qui est vrai doit l'être du début (Aleph) à la fin (Taw) en passant par le milieu (Mem, lettre centrale)
Ce caractère médian de généreuse plénitude et de rigoureuse préparation à la plénitude se révèle tout au long de la lecture biblique, où les périodes et les quantités qui concourent à l'acquisition d'un état de conscience supérieur se mesure par 40.
1) la période de quarante jours et de quarante
nuits pendant laquelle le déluge sévit transformant le globe terrestre
en un gigantesque bain purificateur des violences humaines (à rattacher
à la quantité des 40 séah d'eau de pluie, quantité
minimale nécessaire à la purification)
2) La période de quarante jours à l'issue de laquelle Moïse
redescendit du mont Sinaï avec les tables de la Loi, celle de quarante
jours qui fut consacrée par lui à la prière pour obtenir
le Pardon divin à la suite du péché d'idolâtrie (le
veau d'or) et la période de quarante jours où le pardon obtenu
fut concrétisé par la confection des Secondes Tables expriment
la vertu et la force particulière du nombre 40, dans l'élaboration
de la Torah, de la Téfilah (prière) et de la Téchouvah
(retour à Dieu).
3) La période de quarante ans qui fut imposée au peuple d'Israël
pour errer dans le désert avant de mériter d'entrer en Terre Sainte,
est également considérée comme un moyen de purification,
de sélection, puisque y moururent tous ceux de l'ancienne génération
qui avaient murmuré contre la Terre Promise et ne méritaient pas,
par conséquent d'en hériter.
4) La période de quarante jours, citée par les Sages du Talmud,
à l'issue de laquelle l'âme, souffle divin de vie, anime l'embryon
après sa conception. Et celle de quarante jours précédant
la naissance, pendant laquelle est proclamée l'union prédestinée
des futurs époux ( toujours selon le Talmud)
5) un autre enseignement basé sur le verset deut 29 : 3 selon lequel
il n'est pas possible d'atteindre et de comprendre pleinement l'esprit du Maître
avant que ne soient écoulés quarante ans depuis la leçon.
6) Les quarante jours dans le désert qui sépare le baptême
de Jésus-Christ au début de sa mission évangélique.
7) Dans la liturgie chrétienne, les quarante jours du carême qui
préparent à la Pâques, puis les quarante jours entre la
Pâque et l'Ascension où le Christ monte à la droite du Père,
afin que l'assemblée collégiale des apôtres puisse recevoir
au cinquième jour la Pentecôte.
Le Mem ouvert peut se définir comme symbole
de faiblesse par l'ouverture au questionnement qui est fissure des certitudes.
Ainsi le Mem final parfaitement clos figurera la piscine rituelle (Mikvéh),
le bain rituel ne peut se faire s'il y a la moindre fissure dans ses parois.
Calligraphie de Lalou ( lettres
Mem et Hé : Mah)
Le mot " eaux " Maym est numériquement
90, le double de mah hm 45, dont le sens est le
questionnement fondamental " quoi ". 90 est la dizaine de 9 chiffre
de la lettre Teth X, symbolisé par le bouclier,
le bouclier dont la vocation est de protéger le germe naissant en son
sein, la dixième lettre ! Tet est l'initiale du mot Tov : bwX
bon, bien, beau !
Bien plus qu'un questionnement, il s'agit du " bon " questionnement
centré sur le seul bon sujet : Dieu seul !
" Dieu seul est le bon "
(Luc 18 : 19)
|
£ym les eaux. L'eau
n'est jamais au singulier dans la Bible. On y parle exclusivement des eaux,
et peut-être bien que ce pluriel est un duel, comme s'il y a avait deux
eaux. Comme si les eaux étaient essentiellement duelles, jumelles. Les
eaux £ym qui répondent aux cieux £ymS
qui aussi sont toujours deux, " jumelles ".
Peut-être bien que les cieux sont le reflet des eaux de la même
façon que le Nom est le reflet de la Réalité. Et les eaux
sont " source des vies " £yyx hayyim.
Si les eaux peuvent -être sans vies, les vies ne peuvent être sans
eaux. Les vies £yyx, là aussi est
un pluriel et peut-être bien un duel.
La limite du rassemblement des eaux est la limite
de la dualité. Il est évident que pour transcender la dualité,
il est nécessaire de s'immerger dans une dimension supérieure
où ces limites n'existent plus.
Ainsi les propriétés physiques de l'eau fournissent matière
pour les propriétés de la transcendance :
fluidité, neutralité, adaptation à toute forme.
Le Mem ouvert ouvert et le Mem fermé sont illustrés
par les mots
£yyx (Haïm, les vies) qui finit par
un Mem fermé
twm (Maveth : mort) qui commence par un Mem ouvert
En s'immergeant dans le bain purificateur du Mikvéh
on s'arrache à un état antérieur en mourant dans cette
eau purificatrice. Cette immersion est rupture génératrice de
vie. Il faut que la graine meurt en terre (lieu de rassemblement des eaux) afin
de renaître à la vie éternelle.
La lettre Mem (40) tient de la lettre Dalet (4) et de la lettre Taw (400) Ces
lettres forment ensemble le mot Damot : twmd "
ressemblance " (Gen 1 : 26)
Le " Faisons l'Adam à notre image et à notre ressemblance
" passe par la mort twm.
1) En préfixe la lettre Mem m
peut être le signe de la préposition Min ¤m
indication de provenance.
La préposition de provenance est le mot " ¤m
" (min) mais le Nun final disparaît parfois et le Mem se retrouve
directement rattaché en tant que préfixe au mot qu'il accompagne.
La grammaire hébraïque connaît les prépositions b
(dans), k (comme), l
(vers) m (de)
Les trois dernières prépositions sont les lettres centrales du
Beyt (de Beyt à Taw ) autour du Lamed. Elles forment ensemble le mot
Melek, roi ¢lm et avec le Yod qui précède
" mon roi " yklm. Ces trois prépositions
forment la triade royale qui donnera au Yod y initial
de l'Eternel hwhy son efficience.
2) en préfixe d'une racine verbale la lettre Mem m
substantive cette racine. Ainsi par exemple :
Dabar rbd " parler, dire "
Midbar
rbdm " désert "
Le désert est le lieu d'émergence du Verbe qui se fait chair !
Ainsi dans la Vision de la Femme et du Dragon (Apocalypse 12)
" et son enfant fut enlevé
jusqu'auprès de Dieu et de son trône, tandis que la femme
s'enfuyait au désert, où Dieu lui a ménagé
un refuge pour qu'elle s'y soit nourrie mille deux cent soixante jours.
"
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3) En position finale Mem £ devient le signe collectif, ce qui rassemble les individus au-delà des aspects distinctifs. Au sein des cinq lettre finales (les cinq rigueurs ¢ £ ¤ ¥ ¦), cette lettre se caractérise par la vertu de " courage " et de " persévérence " nécessaire à celui qui aspire à demeurer fidèle à ce qui fait l'universel d'être humain, sa vocation adamique.
L'étude de la grammaire hébraïque trouve sa plénitude dans sa relation à l'esprit de cette grammaire.
Le bestiaire de la Bible : Jean-François Froger
et Jean-Pierre Durand p 33 (quadrature du cercle)
Lettre chemin de vie Annick de Souzenelle p 143 (lettre Mem)
L'écriture hébraïque Gabriele Mandel p 54 (lettre Mem)
La lettre hébraïque et ses secrets Pin'has Pachter p 88 (lettre
Mem)
Les mystères de l'alphabet Marc Alain Ouaknin
Bonne nouvelle :
dorénavant ces cours seront disponibles via internet sur le site Abba
:
http://www.samarcandes.com
Le site Abba offre toutes les possibilités d'un lieu de rencontre, d'études
et de partage inter-religieux autour de l'Ecriture et de amitiés entre
les différentes familles religieuses issue de la révélation.